Titre VO : Blister
Titre VF : Appelez-moi poison
Auteur : Susan Shreve
Traduit : Vanessa Rubio
Edition : Bayard Jeunesse
Nbr de page : 160 pages
Titre VF : Appelez-moi poison
Auteur : Susan Shreve
Traduit : Vanessa Rubio
Edition : Bayard Jeunesse
Nbr de page : 160 pages
Incapable de trouver le sommeil avec Daisy G., sa grand-mère, qui ronronnait comme un chat à côté d’elle, Poison réfléchit.
Quel pourrait être son but ? Elle n’allait certainement pas rester à attendre les bras ballants que sa mère retrouve sa joie de vivre ou que son père revienne à la maison. « Inutile de vouloir changer ce qui ne changera jamais », comme disait Daisy G. » En dépit des malheurs qui lui pleuvent sur la tête, Poison va trouver en elle toutes les ressources pour reprendre son destin en main.
Nous suivons et vivons le rythme d’une vie d’une petite fille âgée de 10 ans, Alyssa, qui est une jeune fille » élastique » c'est-à-dire qui rebondit à chaque problème qui s’impose à elle. Je dois d’ailleurs dire qu’elle m’a donné une bonne leçon de vie, car je suis tout le contraire, je serais plutôt du style à sa mère Mary qui est très fleur bleue et déprime facilement. J’ai aimé son caractère, son audace, sa façon d’agir, de se comporter face au problème du couple de ses parents. Elle prendra la décision de changer son prénom en Poison. Il faut savoir qu’entre Mary sa mère et son père Jack, rien ne va plus ! Au début du livre Mary est enceinte de leur deuxième enfant qui malheureusement sera mort-né. Mary tombe dans une déprime sans issue, son mari décide de refaire sa vie avec une autre (Tamara), laissant Mary et Alyssa seule dans un appartement tout neuf qu’il avait acheté pour elles. Aidée de sa grand-mère Daisy G, Alyssa fera tout pour que sa vie ne soit pas chamboulée et conduira sa mère sur le chemin de la guérison.
J’ai apprécié cette lecture, mais Jack le père était insupportable ! Comment a-t-il pu être aussi lâche, sa femme est en pleine dépression, elle accouche d’une petite fille morte et lui décide et lui faire sa vie ailleurs ! Le pire c’est de me dire que ça existe vraiment….
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